Articles Santé/Bien être
Blog de Marie Chetaille

On le sait, l’alimentation joue un rôle majeur dans le maintien de l’équilibre acido basique. Certains aliments sont considérés alcalinisants, d’autres sont classés comme acidifiants. Comment ce classement est-il établi ?
L’évaluation de l’acidité de l’urine est la base de la majorité des calculs et des classements, mais comme expliqué dans un précédent article, cette dernière n’est pas représentative de l’acidité cellulaire, puisqu’elle en est le mécanisme régulateur.

Terrain acide ou terrain alcalin ? D’où viennent les acides ? Comment sont-ils éliminés ? Peut-on mesurer son pH ? Autant de notions difficiles à cerner pour la majorité d’entre nous… Et non, avoir des remontées acides ne signifie pas que le terrain l’est… Petit tour d’horizon pour tout comprendre car en fait il s’agit d’un système assez simple.

Extrêmement médiatiques depuis « l’affaire » Levothyrox, son changement de formule et ses effets secondaires parfois terriblement handicapants, les dérèglements thyroïdiens sont au cœur des préoccupations. Il semble que le nombre de cas d’hypothyroïdies soit en constante augmentation. Carences nutritionnelles, stress, impact des ondes électromagnétiques, surdiagnostic ? Comment se créent les dérèglements thyroïdiens et quelle est la place des médecines naturelles dans cette délicate régulation ?

Hypersensibilité aux ondes, au stress, nervosité, hyperactivité, spasmophilie… Ces maux très différents ont pourtant souvent des causes proches, parfois identiques, mais avec des conséquences parfois opposées, chaque organisme ayant des réactions différentes suivant son terrain, sa constitution homéopathique, ses antécédents…. Deux individus avec des terrains opposés verront donc leurs organismes réagir de manière très différente à un même stress. L’environnement dans lequel nous vivons influe tant sur l’hypersensibilité que sur l’hyperactivité. Et si on oubliait un peu le psychosomatique pour parler aussi du somatopsychique, ou quand notre organisme influe sur notre esprit ?

Fourmillements ou engourdissements dans les extrémités, crampes, douleurs dans la poitrine, tachycardie légère, contractures dans les mâchoires ou dans les muscles, malaises parfois difficiles à définir, fatigue, nervosité, déprime, angoisse… parfois ces maux courants sont traités lourdement alors qu’ils ne sont que l’expression d’un terrain spasmophile décompensé….